L’atelier de lancement de vulnérabilité approfondie et l’identification des options d’adaptation aux changements climatiques des secteurs de l’agriculture, la santé, les infrastructures routières et des inondations dans la région de Kédougou, s’est tenu sous la présidence du gouverneur de région M. SAER NDAO ce mercredi 24 novembre 2021…
Le Sénégal a démarré le processus de son plan national d’adaptation de 2015, en conformité avec les engagements internationaux sur le puma. Le Sénégal vise à réduire significativement le taux de sa vulnérabilité des incidences face aux changements climatiques par le renforcement de sa capacité d’adaptation et sa résilience, tout en facilitant l’intégration l’éclosion des changements climatiques dans une planification des politiques du développement national et local.
Le chef de l’exécutif régional Saer Ndao, dans un élan enthousiasme, s’est félicité de la tenue de cette importante rencontre. Selon lui, <<Cette activité permettra à tous les acteurs d’intégrer cette étude pour une bonne situation de référence qui nous permettra de définir des stratégies et la mise en œuvre d’ensemble pour abouti à des résultats. La particularité de Kédougou est que nous sommes très vulnérables en termes de changement climatique, car l’action de l’homme est très plaignent sur la nature à Kédougou et il n’y a pas d’alternative proposée pour prendre en compte ces préoccupations. Il nous faut agir sur les projets, programme dont l’adaptation climatique est venue régler pas mal de problèmes. Nous avons impliqué dans cette réflexion tous les acteurs de terrain pour aboutir à une dynamique d’ensemble. Dit-il que l’exploitation des ressources naturelles n’est pas le seul moyen de s’enrichir et sa nous cause beaucoup de tort, nous devront réfléchir et agir. Nous voyons de tous les jours ces problèmes dans nos cours d’eau, au niveau des terres qui sont complètement soudés dévasté, toujours l’agriculture peine à avancer, au niveau de la santé, avec de nouvelles maladies qui naissent et de nouvelles pathologies causées par le dérèglement climatique. Nous sommes entrain de réfléchir avec le ministère pour une réorganisation de l’orpaillage traditionnel qui nous cause beaucoup de tort, car les normes environnementale, d’agriculture ne sont pas respectées et il y a pas de clause de réhabilitation car c’est une activité clandestine. Nous devrons circonscrite l’orpaillage pendant l’année et savoir arrêter pendant l’hivernage, car on aura au moins bénéficié de lessivage naturel des terres. >>
Quant au directeur adjoint de l’environnement et des établissements classés, << Le projet a pour objectif d’appuyer le gouvernement du Sénégal dans le processus de planification de l’adaptation aux changements climatiques dans les secteurs de l’agriculture, des inondations, de la santé et des infrastructures routières en moins et long terme. Dans son dernier rapport publié en Août 2021, le groupe d’expert inter gouvernemtaux prévoit une augmentation du réchauffement d’ici 2050. Le réchauffement planétaire dépassera 1,5 ° à moins que des réductions importantes des émissions de C02 et d’autres gaz à effet de serre n’intervient aucun des prochaines decenies. Les conséquences de ce réchauffement complète un accrochement de nombreux changements dans le réchauffement climatique dont notamment, l’augmentation de la fréquence et de l’intensité des vagues de chaleur. >>
PAPE DAYO.